Lucienne Delattre née Rebattel est décédée le 13 juin 2019 aux Baux de Provence à l’âge de 95 ans. C’est avec une grande émotion et beaucoup de tristesse que nous avons appris son décès. Elle était la maman de nos deux amis d’enfance Jean-Pierre et Didier. Le nom de Delattre est un marqueur fort aussi pour nous anciens fassis. C’est le Café de l’Atlas, le caveau des boums, la place de l’Atlas et aussi la plaine du Saïs. Le nom de Delattre est aussi associé à l’histoire de notre Amicale. Lucienne était une fidèle et ne manquait jamais une AG. Avec sa disparition c’est une époque qui passe dans l’histoire de nos vies à Fès. Le président, le conseil d’administration d’AdaFès et aussi de nombreux fassis présentent toutes leurs sincères condoléances à ses enfants Jean-Pierre, Didier, Bertrand et à leurs familles.


Vous trouverez ci-joint son histoire que nous a transmise ses enfants et ses photos.
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« Elle est née le 30 Mai 1924 à LEGRAND , agglomération d’ORAN(ALGERIE). Son père était colon.
Comme il avait 8 enfants à charge, (Lucienne était la 7ieme) le gouvernement français comme à d’autres français, proposa à Charles REBATTEL un lot de colonisation de 200 ha au Maroc , dans la plaine du SAIS . Charles REBATTEL décida de tenter l’aventure et arriva par le train à FES avec femme ,enfants ,et bêtes.
Mon grand- père avec les marocains du douar local défricha le doum qui poussait partout à cette époque.
IL acheta à M Laboureau, son lot mitoyen de 200 ha également.
Lucienne alla à l’école du Sais, classe unique, dirigée par « le père LEVEDERE ». Elle obtint son certificat d’étude et mena la vie des filles de colon de son époque.
A 18 ans elle fit la connaissance de Pierre DELATTRE , militaire , qui avait quitté la France occupée. Il était de Lille et surtout frère du Commandant DELATTRE , régulateur général des transports militaires de la région de FES. L’entremetteur fut Régis SABATIER , le beau - frère de Lucienne.
Ils se marièrent en MARS 1943. (Naissance de Jean Pierre le 19/10 /1945)
Mon père démobilisé, ils s’installèrent sur une exploitation agricole à SAHEL BOUTAR (RIF), jusqu’en 1948. Ensuite Lucienne et Pierre achetèrent la charcuterie ANGEVINE située rue BOUCHERIE ,en face du cinéma ASTOR, à l’angle de l’av MAURIAL. (Naissance de Didier le 20/01/1948)
En 1954 ils achetèrent aux ANTOINE , le BAR,HOTEL ,RESTAURANT,CAVEAU de l’ATLAS. (Naissance de Bertrand le 19 /04 /1957)
En 1964 , Lucienne et sa famille, rentrèrent en France, et s’installèrent à STE MAURE de TOURAINE et firent tourner l’Hôtel ,Restaurant LA BOULE D’OR jusqu’en 1980.
Pierre et Lucienne prirent leur retraite à TOURS, quartier les Fontaines Son mari décédé en juillet 1982,elle vécut entourée de nouvelles amies, et participa à la vie associative locale jusqu’en septembre 2010.
En Septembre 2010, elle habite LES BAUX DE PROVENCE, à côté de MAUSSANE LES ALPILLES ou vit son fils cadet , Didier.
En JUIN 2019 , après avoir fêté ses 95 ans en famille, et rempli une longue et riche vie d’évènements, elle tira sa révérence .
Elle est inhumée à Sainte Maure de Touraine dans la tombe familiale avec Pierre, son époux. »
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Nous ajoutons une photo de sa présence en AG (2007) => [adafes.com] et l’article sur le café de l’Atlas => [adafes.com]



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C’est avec beaucoup d’émotion, mêlée de nostalgie, que nous avons appris le décès à l’âge de 97 ans, le 3 juillet 2019, de Rebecca ARROUAS-BOTBOL. C’est pour les anciens fassis une perte immense. Rebecca a été une des fondatrices de notre amicale (ADAFES) en 1946. Elle fit partie du premier conseil d’administration dont le président était Lucien GRANDIN. Vous pouvez lire par le lien suivant « [adafes.com] » l’histoire de cette création.
On comprend le sens de son engagement lorsque l’on sait ce qu’a été sa vie. C’est pour cette raison qu’ADAFES lui rend ici un hommage particulier.

La vie de Rebecca a été marquée par l’histoire de Fès entre les deux guerres. Elle a écrit un livre, aujourd’hui introuvable, « Rebecca Française du Maroc ». Elle se raconte et retrace sa vie familiale et professionnelle, elle témoigne pour que ne se perde pas la trace d'une époque et d'un monde disparus. Séfarade marocaine, Rebecca nous fait comprendre, ce que furent les relations entre les communautés juive, arabe et chrétienne dans la vie quotidienne. Elle nous parle de la condition féminine, de la mixité dans les écoles, de l’évolution des traditions familiales juives, de la découverte, de la dynamique de la culture et l’enseignement français. Elle fait partie de cette génération qui a épousé la culture française et l’a diffusée.
Elle était autodidacte, musicienne et concertiste. Pianiste, elle nous a communiqué les joies que lui a procuré la musique, et nous a fait partager la dimension sociale de son enseignement. C’était une personnalité reconnue à Fès.
Mais ce sont les étapes de sa vie qui vont résonner dans nos mémoires d’anciens fassis.

La famille

Rebecca BOTBOL est née en 1921 dans le Mellah de Fès et s’est mariée en 1946 avec Henri ARROUAS, juif d’Algérie. Elle a eu deux enfants, Judith (1950) et Yonnel-Joseph (1952). Sa famille était installée au Mellah depuis des siècles mais son grand-père paternel avait acquis la nationalité française dès 1879. Son père et sa mère se sont mariés en 1902. Son père était une exception parmi la communauté juive de l’époque, il avait certes un commerce mais était aussi colon. Sa nationalité française lui avait permis d’avoir un lot de 200 ha. Il était souvent absent. Il avait été à l’école de l’Alliance et avait appris le français alors que les familles de l’époque parlaient le « judéo-arabe », langue originale proche de l’arabe mais avec des mots espagnols et des mots hébreux. Notons que c’est l’Alliance qui a introduit la culture française. Le père avait une grande ouverture d’esprit et l’avait en ce sens hérité de sa mère peu conformiste (qui fût jeune veuve). Il était aussi connu pour son érudition et issu d'un milieu assez modeste, il a fait un mariage qu'on peut qualifier de brillant. Il avait épousé la fille du grand rabbin Séréro. Les Séréro étaient rabbins de père en fils, venus au 16ème siècle d’Espagne. Famille aisée, la synagogue de la Ville Nouvelle était à l’intérieur de la maison.
Rebecca avait un frère Georges, de 13 ans son ainé, et une sœur. Georges avait une culture vaste et une grande connaissance du droit français et musulman. Il a suivi l’enseignement du Talmud. Georges est devenu Maître Botbol, Bâtonnier. Rebecca lui doit beaucoup.

Le français, la musique, l’ascension sociale

Rebecca parlait le judéo-arabe et appris vite le français et fréquenta l’école Régimbeau (Maurial), puis le lycée. Elle devint passionnée de piano en entendant son voisin jouer et dès l’âge de 10 ans elle suivi des cours particuliers qui ont représenté un sacrifice pour la famille. A Fès, la première école de musique vit le jour en 1940 seulement. Son frère Georges devenu avocat, lui offrit son premier piano en 1937. C’est ainsi qu’elle devient amie avec la présidente des « Amis de la Musique » qui produisait des concerts au Grand-Hôtel. Les « Amis de la Musique » sont devenus les « Jeunesses musicales » après la guerre. Rebecca devint alors professeur de musique de 1942 à 1973 et donnait les cours chez elle.
Avant et pendant la guerre, il y avait une activité musicale à Fès. Pour l’histoire nous devons rapporter ici que la Légion Etrangère donnait tous les dimanches soirs, au kiosque de musique en Ville Nouvelle des concerts magnifiques. Pour la musique, ce régiment venait immédiatement après celui de Sidi Bel Abbès qui était très connu dans toute l'Afrique du Nord, en France et même à l'étranger, pour son orchestre philharmonique.

Elle se fit remarquer pendant la guerre, lors d’un diner de gala à l’Empire pour les officiers américains. Elle accompagna au piano Joséphine Baker.

Sa vie professionnelle était l’enseignement de la musique. Si elle n’a pas enseigné au Lycée, elle enseigna aux collèges Moulay Idriss et Moulay Rachid, à l’école de l’Alliance et à l’Académie des Arts. Lorsque le Centre Culturel Français fut créé après l’indépendance, elle intervint par des causeries, invitait des artistes. Elle prit le relais, sur proposition du Centre Culturel, pour créer la suite de la chorale « A cœur joie » (que les fassis ont bien connu).

La culture, un modèle d’espoir

La période de la guerre à Fès, a aussi été vécue par des mesures discriminatoires à l’égard des juifs. Ces derniers ont dû se recentrer sur le Mellah surpeuplé. De plus les denrées alimentaires (sucre, farine etc …) étaient rationnées pour tous. Il y avait beaucoup de misère. Compte tenu de la condition des enfants, dont beaucoup étaient orphelins, Rebecca enseigna bénévolement à l’école Emm Habbanim le chant et la musique. Au début par des chants hébreux puis des chants classiques ; Carmen, la Traviata. Des groupes ont fait du théâtre et récitaient du Courteline Musset Molière… Le succès fût tel que l’on pouvait compter les enfants par centaines. Mais ce qui est extraordinaire c’est cette soif de culture et d’apprendre qui se lisait dans les yeux de ces enfants, alors que beaucoup ne connaissaient pas le français. Alors le jour de la fin de la guerre, le Mellah en fête faisait une ovation à Rebecca qui monta sur une estrade.

Les relations entre les communautés

Les relations avec les musulmans étaient historiques depuis des siècles au Maroc. Rebecca enfant s’habillait comme eux et parlait arabe. Elle enseigna plus tard l’arabe, pour des remplacements, à Fès. Elle souligna les bonnes relations qui existaient et ne manqua pas de témoigner de la protection des juifs par le sultan (affaire des cages à fauves, où se réfugia sa famille et son frère Georges) lors des évènements de Fès en 1912 où le Mellah fût saccagé. Mais aussi par le refus de Mohamed V d’appliquer aux juifs, alors marocains, les mesures de Vichy.
Du côté chrétien, elle a entretenu de très bonnes relations avec les religieuses à Fès. Ces dernières exerçaient comme enseignantes (dont Ecole Ste Thérèse) et comme soignantes dans les hôpitaux (médina, Ville Nouvelle et dispensaires). C’est avec les Franciscaines Missionnaires de Marie, que Rebecca a entretenu de très étroites relations. Elle joua de l’harmonium à l’église pour accompagner les chants des religieuses et accompagna pendant douze ans toutes les messes de minuit. Ensuite suivi la création des Amitiés judéo-chrétiennes et les liens avec les Bénédictins de Tioumliline où avait lieu deux fois par an des séminaires.

Israël

On sait combien Israël comptait pour Rebecca. Elle aimait le chant « L’hatikva » depuis les fins de Sabbat de son enfance et des aussi les prières « L’an prochain à Jérusalem». Elle s’investit concrètement pour aider les juifs.

Rebecca Arrouas-Botbol quitta définitivement Fès en 1973, après dix générations de présence, pour Aix-en-Provence.

Message d’AdaFès

Madame Rebecca Arrouas-Botbol nous vous devons en partie l’existence d’AdaFès depuis 1946. Nous sommes toujours là, 73 ans après, malgré le fait que les fassis se sont éparpillés dans le monde et dont notre rôle a été d’entretenir le lien. Mais votre vie a été un exemple et vous avez connu des évènements difficiles et majeurs. Vous avez toujours cherché à apaiser, à élever, à organiser, à éduquer. Vous incarnez la victoire de l’esprit et du cœur basée sur une volonté hors du commun.
Reposez en paix.

AdaFès présente à sa famille ses sincères condoléances.


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Madame Rebecca Arrouas-Botbol à l'harmonium - Eglise St Régis



2 modifications. Plus récente: 15/07/19 19:02 par jpb.

Le lien a été placé dans facebook

[www.facebook.com]

Bel hommage où l'essentiel est écrit.

C’est avec une grande peine que nous avons appris le décès d’un ami d’enfance, Guy GULINO. Guy était né en janvier 1947 à Fès. Il est décédé le 18 septembre 2019 à Nice. Ses obsèques ont eu lieu à St Laurent du Var le 20 septembre 2019.

La famille Gulino était connue au quartier de l’Atlas, (rue de Savoie et rue d’Anjou).
AdaFès présente ses sincères condoléances à son épouse, ses enfants et petits-enfants.

Guy, Edmond, Lison, Mayer, Judith et Roger Sabbah ses frères et soeurs ainsi qu'Yvon Bellec son époux ont la douleur de vous annoncer le décès d'Yvette qui a eu lieu le 18 août 2019 à Paris. Elle était née en septembre 1946.

Yvette Bellec qui était chirurgien-dentiste, était parallèlement Médaille d'Or Soprano du Conservatoire de Paris, et a chanté notamment au Châtelet et dans divers lieux de concerts en France et à l'étranger.

AdaFès présente, à son époux Yvon, ses enfants, ainsi qu’à toute sa famille frères et sœurs, ses sincères condoléances et partage leur peine. Yvette devait en juillet 2018 faire partie avec son mari du voyage à Fès avec AdaFès. Un moment pour nous intense de regrets.



1 modifications. Plus récente: 29/09/19 23:11 par jpb.

C'est avec beaucoup de peine que nous avons appris par le post Facebook de Jean-Pierre Chiavola le décès de Jojo Conesa.C'est un des nôtres "Ancien de Fès" qui nous quitte.

Son meilleur ami Alain Benevent nous a fait parvenir une nécrologie sur Jojo que nous reproduisons ici.

"Jojo est né à Fès en 1947, habitait passage de la poste près du commissariat central.
Tout jeune il a perdu sa maman dans un accident de voiture. Son papa était chef d'atelier au garage des autobus et compagnon de chasse de mon père.
Jojo avait une passion pour la mécanique et pour les motos qu'il gonflait (nous dirions maintenant qu'il boostait). Nous étions inséparables ...

Après avoir quitté le Maroc , nous nous sommes retrouvés à Juan les Pins où nous avons continué l'aventure et à nous fréquenter de très nombreuses années. Jojo travaillait évidemment dans un garage qu'il a repris plus tard à son compte.

Il était marié à Rosette , j'étais d'ailleurs son témoin de mariage , il a eu deux adorables filles et six petits enfants .

Aujourd'hui tu nous quittes, repose en paix .

Adieu mon Jojo."

Après cet émouvant hommage, AdaFès présente ses sincères condoléances à son épouse, ses filles et petits enfants ainsi quà ses amis.

Photo souvenir de Jojo Conesa et sa femme Rosette

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Nous avons appris avec émotion en fin de matinée ce dimanche 1er décembre 2019, par la Communauté de Fes, le décès à Rabat où il était hospitalisé depuis 2 semaines du Président de la Communauté Israélite de Fes, Oujda, Sefrou le Dr Armand GUIGUI. Ses obsèques auront lieu à Fes vendredi à 11 heures. Armand GUIGUI était âgé de 86 ans.

Le président d'AdaFes, qui est actuellement à Fes, ainsi que le Conseil d'administration présentent à sa famille ainsi qu'à nos amis juifs toutes leurs condoléances.

Voir photos et vidéos dans Facebook à partir du site AdaFès

[adafes.com]



1 modifications. Plus récente: 12/01/20 18:43 par jpb.

C’est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris le décès de notre tante Gilda IANNELLO le samedi 11 janvier 2020. Née en 1923, elle est décédée à Montpellier dans sa 97 ème année.
C’était une personnalité emblématique à Fès. Elle était la « fille IANNELLO » du boulanger de la rue d’Anjou au quartier de l’Atlas. La boulangerie fût créée avant guerre par sa mère. La clientèle était celle du quartier mais surtout des bases militaires ainsi que des dépôts en médina (Fès Jdid, Bab Guisa).

Gilda , belle brune aux yeux verts, était connue pour sa générosité, son courage , sa persévérance au travail. C’était une fervente catholique qui invitait prêtres et sœurs (on se souvient de Soeur Modesto) à sa table.

Après l’indépendance, lorsque le quartier s’est dépeuplé et que les militaires quittèrent Fès, elle se reconvertit en achetant le Bar Biarritz (rue de Foucault, face au Cyrnos) en 1962. Elle en fit grâce à son caractère un établissement tranquille et très bien fréquenté. Dans les années 60 le bar servait de repère aux anciens de Fès qui revenaient visiter leur ville et qui demandaient des nouvelles des anciens et laissaient leurs adresses.

Lorsqu’elle vendit son bar en 2008 (elle avait 85 ans !!) beaucoup de fassis se sont sentis orphelins. Elle quitta Fès en 2012.

Elle ne s’est jamais mariée mais elle laisse néanmoins beaucoup d’orphelins dans sa famille et chez ses amis qui la pleurent.
Gilda était un modèle de valeurs qui font honneur. Le président d’AdaFès, Jean Pierre Bourdais était son neveu.

Ses obsèques auront lieu mercredi 15 janvier 2020 à 15 heures en l'église Ste Eulalie , rue Merci à Montpellier et elle sera ensuite inhumée au cimetière de Juvignac

Que son âme repose en paix

Photo Gilda IAnnello il y a 13 mois avec à sa gauche sa nièce Jacqueline Darnala et à droite son neveu Jean Pierre Bourdais

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5 modifications. Plus récente: 12/01/20 22:10 par jpb.

C'est avec beaucoup de peine que nous avons appris le décès le 17 janvier 2020 de Albert KESSOUS. Né en 1932, il a pris la suite des Ets Pavia dans les années 70. Cet établissement fournisseur de boissons alcoolisées était bien connu à Fès. La famille Pavia en a été la fondatrice.

Albert est mort subitement alors qu'il avait préparé le Chabbat au Centre Communautaire pour le samedi. Ses obsèques auront lieu au Canada où réside sa famille.

AdaFès présente à son frère Max et à toute sa famille et aux proches, leurs sincères condoléances.

Chers amis bonjour,

Beaucoup d'entre vous consultent la rubrique des décès et on le comprend. Notre système a connu une période d'instablité par rapport aux nouvelles publications qui pouvaient disparaitre. Ceci on l'espère est terminé et nous reprenons tous nos avis de décès. Nous vous remercions de votre compréhension.

Le Président

C’est avec émotion et beaucoup de regret que nous avons appris par ses enfants le décès de Monique RIVIERE le 2 mars 2020 à Grasse. Originaire de Paris où elle était née le 11 avril 1927, elle était arrivée au Maroc juste après son mariage avec Marcel Sabas (avocat à Fès) et a vécu à Fes de 1951 à 1980. Elle a été professeur de Français au Lycée Mixte, puis institutrice à l’école Jean De La Fontaine avant de revenir en France pour se rapprocher de ses deux fils.

AdaFès présente à ses deux fils Joël et Didier ainsi qu’à leurs familles toutes nos sincères condoléances.

Photo : Monique Rivière en photo avec les enseignants et le personnel du Lycée Mixte à Fès

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C’est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris le décès de notre tante Rosine PRAT née IANNELLO le 7 mars 2020. Née le 28 septembre 1928 en Calabre, elle est décédée à Montpellier dans sa 92 ème année. Elle était la sœur de Gilda Iannello, décédée 2 mois avant, et ces dernières années les deux sœurs vivaient ensemble. Elle était aussi comme sa sœur la « fille IANNELLO » du boulanger de la rue d’Anjou au quartier de l’Atlas.
Son premier mari étant décédé accidentellement à El Jadida (Mazagan), elle épousa en 1956 Jean PRAT, juge auprès du tribunal de Fès. Ils étaient des grands amis de la famille Sabas. Jean Prat et Marcel Sabas ont créé un club spéléo de Fès.
Ensuite ce fût Safi et Rabat où son mari juge au tribunal, acheva sa thèse de doctorat sur « La responsabilité de la puissance publique au Maroc ». Il fût muté à Valence comme Procureur. Rosine, autodidacte, était la « débrouillarde de la famille » et a su mener auprès de son mari une vie de relations publiques. Elle est enterrée comme ses sœurs au cimetière de Juvignac.

Que son âme repose en paix.

Le président d’AdaFès, Jean Pierre Bourdais était son neveu.

Nous avons appris avec beaucoup de peine par Louis-Charles SIMONE, le décès de Jean-Hugues SIMONE (surnommé Coco) le 29 mars 2020 à Menton. Coco était né le 1er février 1932 à Fès, et était le fils de Victor et Marianne Simone. Il était cousin germain de Robert le père de Louis-Charles.
Honorable et grande famille les « SIMONE » dont Sauveur repose à Dar Mahrès.
C’est avec la maman de Coco, Marianne que nos mamans faisaient de la couture et aussi des gâteaux. Que de souvenirs !
Coco était un ami intime de Henri Persenda (oncle du président d’AdaFès) et c’est à ces occasions que nous avons gardé de Coco un très bon souvenir.

AdaFès présente à sa famille toutes ses sincères condoléances et partage leur peine.



1 modifications. Plus récente: 24/06/20 22:25 par jpb.

Nous venons de perdre un ami d’enfance et nous sommes dans la peine. C’est une légende de la chanson populaire judéo-marocaine, qui nous a quitté le 1er avril 2020. Marcel Botbol est décédé à l’hôpital Bichat, à Paris, où il était en réanimation depuis une semaine après avoir contracté le coronavirus.
« Il était parti à Paris pour une fête familiale le 10 mars dernier et avait du y rester à cause de la fermeture des frontières », nous informe Maurice Elbaz, un proche du défunt et producteur de son frère, le chanteur Haïm Botbol.
« Il avait des problèmes cardiaques, il n’a pas supporté le virus comme beaucoup de personnes âgées », précise le producteur qui ne sait pas vraiment où le musicien sera inhumé vu le contexte actuel.
« Marcel était un violoniste exceptionnel et talentueux, spécialiste du gharnati. Depuis 30 ans, il tenait un restaurant-cabaret, le « Marcelo », à Tanger, où beaucoup de chanteurs y ont fait leurs armes comme Zakaria Ghafouli », raconte Maurice Elbaz, producteur à Casablanca depuis près de vingt ans.

Né en 1945 à Fès, Marcel Botbol appartenait à une grande famille d’artistes réputés au Maroc. Il s’était également fait remarquer au cinéma jouant son propre rôle dans le film « L’Orchestre de Minuit » (2005) de Jérôme Cohen Olivar.

Baroukh dayan haemet. Nous présentons toutes nos condoléances à sa famille et à tous ses proches. Il restera toujours dans notre mémoire.

Très connu au Maroc et à l'étranger la presse a rapporté sa dispartion. Voici une vidéo de 2015 où il accompagne au violon Vanessa Paloma.

[youtu.be]

Photos : Notre jeunesse avec le groupe Dony Dan. Marcel est au centre aux côtés de Jean-Michel et Michel Vlastos.

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2 modifications. Plus récente: 24/06/20 23:09 par jpb.

C’est avec beaucoup d’émotion et une profonde tristesse que nous avons appris le décès de Guy ELFASSY lundi 27 avril après midi, à l’âge de 73 ans. C’était un des nôtres. Il était le frère jumeau de Marc ELFASSY qui avait été membre, du Comité d’AdaFès.
Le lien avec Guy date depuis notre enfance à Fès. La famille habitait rue de Savoie, au quartier de l’Atlas, et nous nous connaissions depuis l’école primaire.

Lorsque nous faisions nos Assemblées Générales à Pérols, Guy, malgré ses charges venait déjeuner avec nous. « Guitou » était un homme de cœur, dévoué, et avait toujours le sourire. Il avait la relation sympathique avec les autres.

Guy était en charge des Relations Publiques depuis plus de 15 ans , au sein du club de football de Montpellier , le MHSC. Le Président Nicollin lui a rendu hommage.

Guy sera inhumé ce mercredi 29 avril après midi au cimetière de Grammont (Montpellier). Adafès présente à sa femme, sa file et son fils ainsi qu’à son frère Marc et ses proches ses sincères condoléances.

Nous ne t’oublierons pas. Reposes en paix.

Photo de Guy

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C’est avec une grande peine et beaucoup de regret, que nous avons appris le décès par sa fille Jocelyne (Joe) ce matin 3 mai de Angèle Josette Papineschi née Guillen en novembre 1924.

C’est une grande fassie qui nous quitte. Notre Amicale fût fondée en 1946 et Josette fit partie du bureau d’AdaFès pendant la grande épopée. Sous la présidence de Jean LLORCA (In memoriam) de 1985 à 1999 elle fût la secrétaire dynamique de l’Amicale. C’est pendant cette période cruciale dans la vie de l’association que Josette a su gérer les AG de Valence, les réunions intermédiaires à Cap d’Agde, les fichiers, les nouveaux venus et toutes les rubriques des familles, mariages, naissances et aussi malheureusement la nécrologie.
Elle lança en 1992 avec la trésorière Jeanne MUSELLI la campagne « Vérité adhésions » qui fit monter le compteur à 641. Sa fille Jocelyne lui succéda à partir de 1999.


Mais Josette fit partie d’une famille qui a laissé un très grand souvenir aux Fassis d’hier , d’aujourd’hui et certainement de demain; le café de la Renaissance. En effet le début de la construction a été en 1927. Son père Monsieur GUILLEN fût le propriétaire de ce célèbre café et il fit construire le premier étage en 1930. Personne à Fès ne l’oubliera, et nous tous anciens fassis nous n’oublierons pas Josette.
Nous lui disons merci si nous en sommes là aujourd’hui. Elle nous a montré la valeur du dévouement dans notre Amicale aujourd’hui institution historique.

Nous présentons à sa fille Jocelyne et toute sa famille ainsi qu’à ses arrières-petits- enfants nos sincères condoléances.

Reposes en paix chère Josette.

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Nous venons de l'apprendre très vite par l'Académie.
"L'Académie a le très profond regret de faire part du décès, survenu à Paris le 24 juin 2020, de M. Marc FUMAROLI"

Marc Fumaroli a été un ancien du Lycée Mixte de Fès où il a obtenu son baccalauréat. . Il était né à Marseille le 10 juin 1932. Il passa son enfance et adolescence à Fès. Historien essayiste et critique littéraire. Il était spécialiste du XVII ème siècle. Il a été élu à l'Académie Française en 1995 succédant à Eugène IONESCO. Marc Fumaroli a écrit de très nombreux ouvrages qui ne nous ont pas laissés insensibles quant aux sujets traités.

ADAFES et les Fassis sont tristes de perdre un si grand homme
Nous présentons à sa famille et ses proches toutes nos sincères condoléances.

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Je suis triste.. Il va me manquer un ailier.
Pour moi, les "TOGO" resteront inséparables que ce soit dans la vie ou sur un terrain de Hand.
Marc, si tu me lis, j'ai une pensée amicale et émue pour toi et la famille de Guy

C’est avec beaucoup de tristesse et d’émotion que nous avons appris le décès accidentel le 26 août 2020 de Brigitte FABRE née GODBARGE. Elle était née à Rabat le 2 mai 1940.

Elle était la fille du commissaire-divisionnaire de Fès. Elle comptait de très nombreux ami(e)s qui sont dans la peine.

Ses obsèques auront lieu le mardi 1er septembre 2020 à 14h00 à la chambre funéraire Atger à Avéze, et elle sera inhumée au cimetière d’Arrigas (Gard)

AdaFès présente à ses filles Anne-Martine , Christine , Odile et Edith, sa famille et ses dix petits-enfants ses sincères condoléances.

C'est avec beaucoup de regrets et d'émotion que nous avons appris le dècès à Fès le 1er octobre 2020 de Jean-Paul ICHTER, architecte bien connu à Fès. Il sera inhumé au cimetière de Dar Mahrès le lundi 5 octobre 2020 à 15 H.
Nous présentons à sa femme, sa famille et ses proches nos sincère condoléances. Rachid Haloui, architecte comme lui, lui a rendu un hommage chaleureux et très émouvant que nous partageons.

HOMMAGE de Rachid HALOUI

"Mon cher Jean-Paul,
Pourquoi tu es parti comme ça sans nous le dire? Nous sommes des milliers à avoir voulu te voir et te revoir encore. Nous sommes nombreux à avoir voulu te parler, t’écouter. Nous aurions tellement voulu te voir faire la fête comme tu aimais la faire.

Cinquante ans ! voilà cinquante ans que je te connais. Depuis que j’étais venu te voir à ta première agence, là-bas, allée Christiani. J’étais en première année d’architecture. Je me revois tout timide et tout intimidé en t’attendant pendant que tu terminais une réunion. Ensuite tu es venu, en toute simplicité, mais avec un enthousiasme sans pareil. Tu m’as parlé sans t’arrêter. Je ne comprenais pas tout. Mais quel plaisir de t’avoir rencontré ! Quelle expérience !

Depuis, nos chemins ne se sont jamais écartés. Même quand chacun suivait le sien, l’esprit restait le même par cette complicité dans l’exigence de soi, l’opiniâtreté, et cette forme de révolte permanente contre la médiocrité.
Tu ne te fatiguais pas à mâcher tes mots. Le verbe haut et le son aussi, tapant du pied, jurant, criant, « la bouche pleine de mots crus » comme disait Brassens. Pas de compromis, pas d’angles arrondis, pas de concessions. Mais ce que tu n’avais pas dans le verbe, tu l’avais dans le cœur : la tendresse, la finesse et la subtilité.

Et cette fougue, cette rage, cette énergie, tout cet enthousiasme que tu développais à chaque nouveau projet, comme une nouvelle aventure, une nouvelle vie. Optimiste et souvent déçu, visionnaire et souvent incompris, exigeant et parfois pas suivi, tu savais foncer, droit devant, taillant à la serpe ton chemin à travers les embuches des aléas, les ténèbres de l’ignorance et l’adversité de la médiocrité.

Les joies de tes réussites n’avaient d’égal que les peines de tes déceptions, nous ramenant, pauvres architectes à notre propre sort, fait d’un mélange de plaisirs et de souffrances. Mais, toi, rien ni personne n’a réussi à te faire plier et tu repartais toujours, debout, la tête haute, aussi fort et avec encore plus d’entêtement.

Mon cher Jean-Paul,

Tu as quitté ta lointaine Alsace. On a voulu te faire traverser la Méditerranée. Tu l’as traversée mais à ta manière, pas là où on voulait t’envoyer, bravant tout ordre et tout commandement. Tu t’es attaché à cette terre, elle est devenue la tienne. Tu l’as aimée, elle te le rend bien. C’est elle qui t’accueille aujourd’hui, pour l’éternité.

Repose en paix. À un de ces jours.

Ton ami Rachid HALOUI À Fès, le 1er octobre 2020"


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L'inhumation a eu lieu au cimetière de Dar Mahrès, lundi 5 octobre 2020. Comme il est rare aujourd'hui d'enterrer au cimetière de Dar Mahrès, nous avons voulu mettre la photo du cercueil avant la mise en terre.

Reposes en paix Jean-Paul




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1 modifications. Plus récente: 05/10/20 23:45 par jpb.

Nous avons appris avec beaucoup de regret par son cousin germain, Louis Escalle, du décès à Toulouse le 24 octobre 2020 de Jean-Michel ESCALLE. Il était le le fils de Félix et Renée Escalle, colon au KM 7 de la route d'Ain Chkef, quartier Zouara. Il était le frère de Christian et Jean-Félix.

Jean-Michel était né en 1958 et suivi ses études à Muret après le rapatriement de la famille en 1964.
Brillant footballeur au niveau Cadet puis junior il fit sa carrière dans l'immobilier. Il était père de 2 enfants et avait 3 petits-enfants.

Il est décédé des suites d'un cancer. Il a été digne dans la maladie et face à la mort.

AdaFès présente toutes ses sincères condoléances à sa famille.

Nous avons appris, avec émotion, le décès de Marcel SABAS le 2 novembre 2020 à Gréoux, près de Manosque, où il résidait, à l'âge de 95 ans. Il était né à Rabat le 18 juillet 1925. Il avait hérité de son père la rigueur, le barreau et le patriotisme.

Maître SABAS, avocat à Fès avait son cabinet place de Florence (Place Lyautey). Il a créé à Fès le premier club de spéléologie du Maroc et c’est dans les environs de Taza qu’il explorait des gouffres. Il était très ami avec le juge Jean Prat, qui était l’oncle du président d’AdaFès Jean-Pierre Bourdais, et ensemble ils pratiquaient leur passion. Il comptait à Fès de très nombreux amis et bien entendu c’est aussi à Moulay Bousselham, la plage atlantique de nombreux Fassis, où il a gardé avec eux de merveilleux souvenirs.

Marcel SABAS, comme d’autres jeunes du Maroc, a fait partie de ces armées qui ont lutté contre l’Occupant Nazi. A 20 ans il débarque en Provence. C’est dans les blindés qu’il va participer à la libération de Royans, et il rejoint la Division du Général Leclerc. Il a été décoré Chevalier de la Légion d’Honneur, Croix de guerre avec 3 citations.

Après la guerre il poursuit ses études à Paris et il vient s’installer à Fès. Il se marie et est père des deux enfants ; Joël et Didier. En 1964 il rentre en France et s’installe à Lorient pour y poursuivre sa carrière d’avocat pénaliste. Il fût deux fois bâtonnier. Il a continué à pratiquer la spéléologie. Il eut une activité sociale importante.

A l’heure de la retraite avec sa femme Monique ils s’installèrent à Gréoux où son épouse a ses racines familiales.

Avec Marcel SABAS s’éteint encore les porteurs et les témoins de la vie merveilleuse au Maroc.

AdaFès présente à sa femme Monique, ses enfants Joël et Didier ainsi qu’à ses petits-enfants et proches ses sincères condoléances.



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1 modifications. Plus récente: 23/01/21 15:28 par jpb.

C’est avec beaucoup de peine et de regret que nous avons appris jeudi 19 novembre 2020 le décès de Albert DEVICO à Meknès. Il a été enterré jeudi après-midi au cimetière israélite de Fès.

Il était le frère de Elie et de Mardoché DEVICO. La famille DEVICO est très connue au Maroc et dans le monde pour sa célèbre marque des conserves Aïcha. Le groupe est le 1er exportateur marocain de conserves de tomates et d’huile d’olive.

La famille est aussi connue pour ses actions citoyennes, culturelles, et sportives (Rallye Aïcha des Gazelles) et soutient la Recherche et le Développement au niveau Agro-alimentaire.

Albert était le Président de la Communauté Juive de Meknès. Nous perdons aussi un ami d’enfance depuis l’école primaire.
La famille Devico a toujours gardé la discrétion sur ses actions comme une devise et nous saluons sa grande générosité.

ADAFES présente ses sincères condoléances à sa famille, et ses frères ainsi qu’à leurs familles.

Lire aussi dans Facebook avec témoignages

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Condoléances du Secrétaire Général Serge Bedugo du Conseil des Communautés israélites du Maroc

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En ces périodes tristes de pandémie nous apprenons avec beaucoup de tristesse la disparition de nos amis. Parmi ceux-ci nos amis marocains avec qui depuis notre enfance nous avons fait ensemble un parcours de vie dans notre quartier ou au lycée. Nous avons toujours gardé des liens et nous partageons des peines. Au moment de leur rendre hommage nous voulons aussi rappeler nos bons moments passés ensemble en témoignant.

Abdelfattah Sbai, pharmacien, ancien présient du Rotary de Fès rend hommage à Fouad CHAOUNI décédé le 26 novembre 2020 et AdaFès publie des photos des bons moments à la ferme Chaouni à Imouzzer et également à son domicile à Fès, avec ses très bons amis, Jean-Pierre Chiavola, Miloud Asslaf..

ADIEU MON AMI FOUAD CHAOUNI.

" Une tristesse terrifiante, et une douleur profonde, m'ont saisi en apprenant le décès de mon ami Fouad Chaouni .Une amitié plus que cinquantenaire. Une amitié sincère et véritable, née au Lycée Mixte de Fès, nourrie à l'université de Bordeaux, entretenue et consolidée dans le quotidien de la vie active à Fès.

Feu Fouad Chaouni était l'ami de tout le monde car il inspirait confiance et bienveillance chez tout le monde.
Jamais personne ne l'a montré du doigt. Jamais personne ne s'est plaint de sa conduite. Bien au contraire, tous les membres de sa famille, tous ses proches et amis, et tous ceux qui ont travaillé avec lui, côtoyé ou ont été à son service, s'accordent à dire qu'il était discret, courtois et très serviable.

Feu mon ami Fouad, était élégant, très fin, et réservé. De cette réserve des hommes sages et pondérés. Sa réserve n'était ni froideur, ni indifférence. Bien au contraire, c'était sa manière naturelle d'approcher, avec tact, les situations et les personnes. Une fois cette apparente réserve levée, car le devoir moral d'agir l'interpellait, on découvrait la nature profonde de feu mon ami Fouad : l'Affection, la compassion, et l'altruisme.

Toutes ces qualités d'homme pieux, lui venait d'une éducation soignée, attentionnée et prodiguée par une maman très dévouée, pétrie de nobles valeurs humaines.

Amoureux de la musique, des arts et des lettres, Feu mon ami Fouad, était un sponsor attitré de ces activités.

Fidèle en amitié et généreux, Feu mon ami Fouad offrait, à l'occasion, à ses amis, Anciens du Lycée Mixte de Fès ou membres de l'association ADAFès, de somptueuses réceptions chez lui à Fès, comme dans ses fermes d'Imouzzer .

Fouad mon ami, ton épouse, tes enfants et toute ta famille ont perdu en toi un être très cher.
Pour tous tes amis, dont je suis, tu étais également très cher. Adieu l'ami, repose en paix.
Puisse ALLAH, t'envelopper de sa miséricorde, t'accueillir dans son vaste Paradis et nous donner à nous tous le courage de supporter l'épreuve. "
Ton ami ABDELFETTAH SBAI.

AdaFès présente ses sincères condoléances à son épouse, ses enfants ainsi qu’à ses proches.

Photos AdaFès (MM.Gillier et F.Linarès)
- A Daït Aoua, AdaFès visite l’usine de conditionnement des pommes des Fermes Chaouni et déjeuner dans son somptueux salon de réception à Imouzzer (2014)
- A Fès à son domicile, déjeuner de réception d’AdaFès (2015)
Fouad a toujours su accueillir ses amis avec chaleur, générosité et de nous régaler avec le meilleur des plats marocains

Voir également la publication facebook avec les témoignages et photos

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2 modifications. Plus récente: 23/01/21 18:07 par jpb.

C’est avec beaucoup de regret et de peine que nous avons appris le décès de Azzedine Tazi le 1er décembre 2020. Nous étions encore sous l’émotion des décès récents d’amis en ce mois de novembre. Cette pandémie nous accable.

Azzedine était un ami au cœur d’or et un grand professionnel. AdaFès faisait ses diners de gala lors des voyages pour le Festival des Musiques Sacrées dans son restaurant. Le Palais de Tazi était le top de la cuisine Fassie. Tout y était ! L’accueil, le magnifique Riad, le point de vue sur Fès du haut des terrasses où nous dinions et bien sûr la cuisine.

Sa table avait une réputation internationale. Il reçut Ronald Reagan et son épouse, des acteurs ou actrices comme Claudia Cardinale et beaucoup d’autres personnalités. Il en restait toujours très modeste et il fallait vraiment le solliciter pour qu’il sorte son Livre d’Or.

Le président d’AdaFès le rencontrait souvent à Fès.
Azzedine militait pour l’ouverture des restaurants durant la pandémie sur le thème « Open the borders », il était respectueux et ne manquait pas de venir les 14 juillet au Consulat. Lors des obsèques de Jean-Paul ICHTER il fit pour AdaFès le reportage photos des obsèques. Quelques jours avant d’être emporté par la pandémie il avait envoyé au président d’AdaFès un reportage photos où il reçut une distinction par une association féminine. Il était heureux.

Adieu mon ami et repose en paix.
Adafès présente ses sincères condoléances à ses enfants et à sa famille.

Abdelfettah Sbai, pharmacien et ancien président du Rotary lui rend hommage

« La nouvelle du décès de Azeddine Tazi m'accable d'une tristesse immense.
Feu Azeddine était mon ami,il avait un bon cœur.Il était très hospitalier et savait bien recevoir et mettre ses invités à l'aise.Vaillant, il travaillait sans relâche. Il a su relever tous les défis surgissant sur son chemin,ne voulant devoir rien à personne.Il était un self made man type. Azzeddine Tazi gérait avec amour son Palais de Fès où il a reçu des sommités nationales et internationales. La table de Azeddine Dar Tazi est exquise, de l'avis de tous ceux qui ont fréquenté le Palais de Fès. On y revient volontiers.
Feu Azeddine invitait souvent les amis à sa table dans une convivialité fassie traditionnelle.

Cher ami Azeddine ,repose en paix, puisse ALLAH t'accorder sa miséricorde et t'accueillir dans son vaste paradis .Mes sincères condoléances à ses enfants Ghita et Nasser et à toute sa famille

Photo quelques jours avant sa mort pour la journée Internationale des Femmes


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Références Facebook

Avec le Consul Général et AdaFès sur le logo "Open the Border"
[www.facebook.com]

Vue depuis son restaurant et ses références de personnalités
[www.facebook.com][0]=AZXyLSrY519Jx1ZtJZ-wkNrJMrygdvJNAvKlv9ecM0F9pT9yIgXCuBJYjNPA_g1Vrezqc6-Bjkd9zeH9qUU5nT5e20BiOFkNk63zpnoWVoaPRzOWBgyLODOYX70Th1C8itA&__tn__=%2CO%2CP-R

Le 14 juillet 2018 à FES:
[www.facebook.com][0]=AZXcs5UQYv8G05oBQQJpn29jGWHMEdo84Kg2l3laHGTtPd7DAZIazO79DTNkyffhRDf1wnhtpH2bUKcmrRI_eCy4NNiedmzbPS7D4CATZ5Ow_umV3SDe0tan923fV13HyP8&__tn__=%2CO%2CP-R

Nous avons été bouleversés par le décès brutal d'Alegria CLAIRAC la soeur de Mercédès AZOULAY, le 10 décembre 2020 à Fès.
Alegria était née le 18 juin 1945. Elle s’est mariée avec Philippe Clairac en 1969 et ils ont eu 2 enfants., Christian actuellement à la Réunion marié et père de 3 enfants et Gilles qui habite Strasbourg. Philippe est décédé il y a 3 ans et repose à Dar Mahrès.

Alegria habitait l’Urbaine et était très connue à Fès. Elle a été élève au Lycée Mixte de Fès.

Elle a commencé une carrière d’enseignante à Sefrou (1 an), puis pendant 20 ans elle exerça à l’Ecole Slaoui. Ensuite elle travailla au Consulat Général de France à Fès pendant 20 ans.

Elle était très complice avec sa sœur Mercédès et était très souvent ensemble. Nous mesurons l’immense chagrin de Mercédès qui a perdu aussi sa grande copine Gilda Iannello en janvier 2020.

AdaFès présente toutes ses sincères condoléances à ses enfants Christian et Gilles, ses petits-enfants, et à sa sœur Mercédès, que nous soutenons dans ces moments très difficiles pour elle.




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1 modifications. Plus récente: 27/01/21 12:43 par jpb.

C'est avec une grande tristesse nous avons appris, par Jean-Pierre CHIAVOLA, le décès de Jacqueline GILLETA épouse de Patrice GILLETA, le 11 janvier 2021 des suites d'une longue maladie.

Nous présentons nos très sincères condoléances à Patrice son mari, à sa famille et à ses proches.



1 modifications. Plus récente: 27/01/21 10:52 par jpb.

Nous avons appris avec beaucoup de regret le décès de Nicole RENZINI à l'âge de 65 ans, le 18 mars 2021 au Boulou. Elle était la fille de Monsieur Renzini dont l'établissement à Fès était très connu. Elle était née le 16 mars 1956 à Fès.

Voici l'avis de décès publié dans le Midi Libre.

" LE BOULOU.
M. le Maire ;
Mmes et MM. les Adjoints ;
Mmes et MM. les Conseillers municipaux ;
le directeur général des services ;
l'ensemble du personnel communal
ont le regret de vous faire part du décès de
Madame
Nicole RENZINI
présidente de l'école de musique du Boulou
ancienne adjointe à la Culture
Ils s'associent à la peine des proches et présentent à la famille leurs plus sincères condoléances."

Voici dans un article de presse de 2018 , un aperçu de sa mission d'adjointe à la culture.

[www.caue66.fr]

AdaFès présente à sa famille ses sincères condoléances



2 modifications. Plus récente: 20/04/21 17:28 par jpb.